Carl Kellner
pre-Ordo Templi Orientis

Méthodes pour la Conduction au Yoga et l'acquisition du Yoga

Dr. Carl Kellner
1896



Extrait traduit par Johannes Maikowski
Carl Kellner - Méthodes pour la
Conduction au Yoga et l'acquisition du Yoga



Après la mode, qui conduit au Yoga, on distingue plusieurs sortes de Yoga et il est vrai les plus digne d'être mentionées :
Mantra-Yoga, Hatha-Yoga, Bhakti-Yoga, Laja-Yoga, Amanaska-Yoga, Raja-Yoga.

Mantra-Yoga contient la répition longtemps d'une seule phrase («Mantram» le plus souvent prise dans les livres du Veda) ou aussi seulement d' un seul mot (souvent le pranava : la syllabe mystique : AUM (voyez Mandukya Upanishad). Hatha-Yoga est composé d' une système de la réglementation de la respiration. Les anciens Indiens disaient le même, que le principe de la pensée se trouve dans certaine jonction avec la respiration et que pour cela par la réglementation arbitraire de la même respiration aussi le principe de la pensée peut être continué tranquille «comme la flamme d'une lampe, qui brûle dans un endroit, qui est protégé du courant le plus faible d' air» comme on dit dans la Bhagavat Gita.
Comme on sait, nous ralentissons notre respiration, aussi bien que nous concentrons notre attention sur un point. Ce point est à nous congénital. Sur le battement du coeur est un procédé à reconduire. Avec celui nous concentrons notre attention sur la circonstance suivante. Par la régulation arbitraire de notre respiration nous avons une influence arbitraire sur notre respiration, une influence sur la partie proéminante de l'organe centrale. Avec cela nous enrichissons notre sang avec de l'acide carbonique. Ainsi c'est évident, que les pratiques du Hatha-Yoga disposent de moyens hypnogènes. Ils conduisent à la circonstance du Yoga. Ils sont simples et conduisent au plus vite au but.
Bien entendu est la chose peut-être très dangereuse. Et elle doit jamais être essayée sans instruction d'un guide expérimenté («Guru» est'il nommé chez les Indiens).
Les livres du Yoga et les manuscrits donnent parfois des instructions les plus folles. Naturellement ist sont persées seulement allégoriquement. Et il faut les prendre très rarement au pied de la lettre.
La désignation «Hatha-Yoga» est déjà une telle histoire voilée. «Ha» signifie la lune et «Tha» le soleil. Le soufle inspiré par la narine droite est nommée dans l'instruction secrète indienne «Surya-Swara» ou normalement «Pingala». C'est le souffle du soleil. Autrement le soufle inspiré par la narine gauche est nommé «Ida» ou le soufle de la lune. Par la réunion de ces deux «sur V île entre la Gange et le Jamura», c'est à dire entre le sourcils commence la délivrance qui est nommée Yoga. Le lecteur honoré va peut-être maintenant comprendre la difficulté. Cette méthode obscure est contraire a l'étude du Yoga par des livres. Et je dis encore : Dans l'école du Yoga il ya dix méthodes différentes. Les plus importants sont Prana et Apana. Le premier monte en bas, le deuxième monte en haut. Et la réunion à côté du nombril est aussi «Hatha». C est la réunion du soleil avec la lune!
Mais notre conscience du moi (Ahankara ou dans une autre manière Jiva) est une répétition de la concience du monde (Atma). La réunion de Jiva avec Atma est aussi la réunion du soleil avec la lune. Une tel exercice serait très dangereuse après les écritures du Yoga. Chaque homme va comprendre le danger pour les chercheurs les plus ardents.

Il y a assez des écoliers du Yoga à l' Inde qui ont payés leurs efforts avec la vie ou avec des maladies inguérissables. Ils sont très nombreux. Au point oriental on est convaincu que la victime va recevoir une bonne récompensation dans la vie prochaine. Pour cela on va l'envier au lieu de le plaindre. (C est une direction de goût peut-être pas pour tous nos lecteurs honorés.) Je vais revenir plus tard sur les pratices du Hatha-Yoga. Je ne veux pas déranger l'unité. Maintenant je vais esquisser les autres systèmes du Yoga.
Bhakti-Yoga est le Yoga de la dévotion. Il est pour nos exercices de la religion (ou il devait l'être). Naturellement les Indiens comprennent la dévotion comme un dévouement complet et ardent. («par tout le coeur et par tout l'âme). La disposition ardente de ce peuple du sud est très approprié pour cela. On dit dans la Gheranda Sanhita par exemple : «Laissez le voir sa déesse en son coeur !» Laissez l'être plein de l'extase ! Laissez le verser des larmes du bonheur. Et s'il fait cela, il serait en extase. Cela le conduit au Samadhi et au Manomani» etc. Laja-Yoga est une condensation de l'attention sur un événement sentimental. Ou c'est une présentation d'une perception des sens arbitrairement provoquée et attachée. Elle peut se trouver dans une partie arbitraire du corps. À celui appartient aussi le :
Nada-Yoga. L'attention (le principe de la pensée) est fixée au sons, qui sonnent aux oreilles.
Ainsi semblable sont les pratices du Amanaska-Yoga, comme aussi ceux du Rasananda-Yoga etc. La couronne vraie du Yoga reste le Raja-Yoga. Et le autres systèmes du Yoga servent seulement pour acquérir plus facilement le Raja-Yoga.
Le Raja-Yoga consiste en la réunion directe de Manas (traduit de l'âme) avec Atma. Autrement dit en la réunion de la concience d'un seul homme avec la concience du monde.
Il est compréhensible que le renoncement à l' individualité est le commencement de l'état sonnambule (Samadhi). Mais il est claire que ce chemin serait le plus difficile. Mais le Samadhi a ses sousdivisions. Les plus importantes sont Samprajnata, être conscient, et Asamprajnata Samadhi, être sans conscience. Ainsi nous croyont que le Raja-Yoga serait la suggestion pour l' état sonnambule inducé par soi-même. L'objet suggéré est élevé sacré. Celui est accompagné d'un sentiment de bonheur qui ne se laisse pas décriver.
J'ai informé mes lecteurs envol des systèmes duYoga différentes. Je veux maintenant retourner encore une fois au Hatha-Yoga. Ce système a pour nous le plus grand intérêt.

Toutes sortes de Yoga ont huit sousdivisions. Pour cela le Yoga est nommé le chemin huit fois autant (regardez le poème admirable de Edwin Arnold : «la lumière d'Asie» traduction allemande Reclam 9 Universalbibliothek Nr. 2941, 2942). Ces sousdivisions sont divisés en les premiers cinq. Elles sont nommlées le Yoga externe. Et les dernières trois sont nommées «Samyama» C'est le Yoga vraie et intérieur. Les premiers trois sont :

1. Yama. Modération, indulgence, contentement, sincérité, honorabilité etc. Par cela un état d'âme est fait : C'est la tranquillitée intérieure. Elle est en première partie nécessaire pour aquérir le Yoga. Ces prescriptions religieuses ont non seulement un but éthique, mais encore un but psychologique.
Patanjali a dit en ses aphorismes du Yoga, Cpt. 1. Sloka 36. «Ou l'état sans soucis de l'âme pleine de lumière va conduire au Samadhi.»

2. Niyama. C l'obéissance aux prescriptions de la forme de religion, à qui appartient le Yogi. L'homme intérieur et extérieur doit se nettoyer : abstinance (mais sans tomber dans une asquèse trop grande. Car chez le Yogi on dit : «mens sana in corporé sano». C'est le plus important. Car le Yogi a besoin un corps sain et fort en tous ces parties. Il doit régner sur lui complètement. Ce règne va croître d'une sorte qu'on ne peut pas croire. Pour acquérir une partie grande des exercices préparentes le Yogi est assuré de sa force et de sa santé. Vairagya je veux traduire comme «sans désir». C'est le clé le plus important de la porte du Yoga. Patanjali dit : «La concience d'un homme qui est le maître de tous ses désirs est Vairagya». Comme chez Yama ont aussi tous les prescriptions chez Nyama le but de la paix intérieure. Au commencement des états du Yoga ce paix est naturellement facilement atteignée. Elle est absolument nécessaire pour le Yoga le plus haut.
Dans le chapitre du Niyama se trouve aussi le «Japa». C'est parler sans ton d'un Mantram (une phrase sainte) et le dévouement à Iswara.

«Iswara est une âme à soi-même qui ne connaît pas tristesse, travaux, fruits (résultats) et impressions» dit Patanjali. C'est l'instruction du Sankhia à qui appartient l'instruction du Yoga pour la compléter ne connaît pas Iswara. Patanjali le connaît pour le but des pratices du Yoga, parce que la méditation est plus facile. Pour cela sa philosophie a été nommée «Sesvarasankhya». Comme on voit forment déjà des parties du Mantra et du Bakhti-Yoga le Niyama.

3. Asana. La position. Nous devons acquérir une position qui corresponde à nos états intérieurs si nous voulons adquérir une concentration intérieure. L'acteur qui doit mîmer un héros va autrement marcher comme un acteur qui doit mîmer un joueur insouciant. On connaît le changement de notre position du corps chez des mouvements de l'âme. Le Yogi cherche à travailler de dehors vers l'intérieur. Il prend sa position qui corresponde à son état future de son âme. Il y a plusieurs positions qui ont une influence sur le mouvement circulaire. Nous hommes de l'occident ne peuvent pas nous assoire comme les hommes de l'orient. Pour nous il est impossible d' avoir une telle influence. Les Asanas doivent avoir une influence sur les extrémités en bas et aussi sur le sexe. Et ils sont un entraînement de la force de la volonté. La position à genoux des églises chrétiennes est un Asana plus âgé que le commencement de la crétienté («Vajrasana»).

J'ai ici la description exacte des 32 Asana. Seulement les hommes-serpents de nos cirques ou des théâtres-Varité pourraient les faire. Avant la publication en langue allemande je vais en parler dans mon livre très grand sur le Yoga. Comme exemple je veux décrire le Padmasana (Position de Lotus) : Ton pied droit sur cuisse gauche et le pied gauche sur la cuisse droite et tes mains derrière le dos en croix. Et tu attrappes et tu tiens les grands doits de pied des pieds croisés. Et ton menton tu presses contre la poitrine. Et tu fixes ton regard sur la pointe de ton nez.(!) Patanjali le sage dit en chapitre 2 Sloka 4. «la position est bonne qui est fixé et aggréable.» Nous hommes de l'occident ne vont pas nous assoire en Padmasana !

4. Pranayama. La régulation du souffle. Le mot «Prana» est synonyme avec le souffle et avec la vie. J'ai parlé de quelques résultats de la régulation arbitraire du souffle. On pourrait dire encore beaucoup et des choses très intéressantes sur ce sujet. Mais ici je n'ai pas assez de place. Ainsi je donne de tous les méthodes du Pranayama seulement une description. Je vais donner seulement une exemple. La description technique pour aspirer est «Puraka». Exhaler est nommé «Rechaka» et arrêter du souffle «Kumbhaka».
Ces trois fonctions ensemble sont un Pranayama. Nos mystiques de l'occident ont connus la conjonction du souffle avec la pensée. Ainsi dit par exemple Swedenborg. «Si nous pensons une pensée longue nous inhalons longuement le souffle. Sie nous pensons vite notre souffle commence à vibrer très rapidement. Si la tempête du dépit ébranle l'âme d'un homme est son souffle très vite. Si l'âme d'un homme est profond et tranquille son souffle est aussi ainsi. Laissez un homme essayer le contraire! Il doit penser longuement et souffler courte et vite. Il va trouver que c'est impossible.» Et Srischandra Basu adjoint : «Le prinzipe de la pensée est comme une flamme à gaz à qui le gaz est adjoint sous une pression toujours changeante. Le sang que le coeur donne au cerveau est le gaz de la flamme de l'âme. La relation entre les passions et sentiments différentes est l'adjonction du sang au cerveau pas toujours uniforme. Et pour cela la pensée tremble et ne donne pas une lumière uniforme. Pour cela le Yogi exerce le Pranayama. Il envoyé une fleuve uniforme de sang en son cerveau. Il essaye de tenir la flamme toujours uniforme.» Mais maintenant un exemple pratique.
Les Kumbhakas le plus souvent exerés sont huit : Sahita, Surya-bheda, Ujjavi, S'îtali, Bhastrikâ, Bhrâmari, Murcha et Kavali.
Pour exercer Sahita assis en un Asana approprié on ferme avec le pouce de la main droite le trou droit du nez. Et on inhale doucement par le trou gauche du nez en répétant 7 fois le mot «Om» . Après on ferme les deux trous du nez et arrête le souffle très longuement (Kumbhaka). Ainsi on repète cet Mantram (ou un autre, par exemple Om, tat, sat) 14 fois.
Après on exhale doucement par le trou gauche du nez et repète dans ses pensées 14 fois ce Mantram. Et on inhale par le trou gauche du nez (Puraka) etc.
On doit peu à peu repeter de plus en plus jusqu'on a atteint le nombre de 80. Ce procès fait d'abord chez le premiers dégrés perspiration. Dans les dégrés moyennes tremblement et dans les dégrés hautes «lévitation» (!?) Le régime (lait et nourriture vegetabile, pas de meis aigus) doit être au commencement très sévère. En un stade avancé on a plus besoin de ces régimes.

La Hatha Pradipika dit :
Le souffle doit être maitrisé doucement. «Les tigres, les ours et autres bêtes sauvages doivent être maitriser aussi doucement. Autrement l'étudiant trop diligent va trouver un dommage. Le pranayama vraie guérit tous les maladies. Le pranayama faut appelé les maladies.» «Si les Nadis (centres des nerfs) sont claires est le corps souple et beau. La digestion va être mieuse. La santée est là et reste. Le souffle peut être réglé sans effort. Et on peut entendre les Nadis (les tons intérieurs).»

Une méthode diverse (Habus-i-dam) est praticiée des Yogis perses (et des Sufis), la suivante :
On inhale doucement et repète le mot «nest» jusque les paumons sont pleins. Après on baisse la tête sur la poitrine droite et récite le mot «Hasti». On exhale et lève la tête. Après on inhale très fort en disant le mot «magar» et après en murmurant «yezdan» et on baisse la tête sur la cotée gauche et on exhale. On ne fait pas des pauses. La formule est : «nest hasti magar yezdan », Krikara (Il n'y a pas un être sans dieu).
On voit : ici n'existe pas un Kumbhaka. Et les gens se racourcissent le temps d'inhalation et d'exhalation toujours en plus. - La chose se voit très inquiétante - et ils tombent après quelques minutes sans connscience. C'est une connaissance qui est venue dans les circles du Islam par hasard. Mais cette connaissance du «Bhâstrika» est complètement fausse et elle semble être Kumbhaka. On inhale doucement et profond par les deux trous du nez et exhale très vite (comme un soufflet). Si on a répété cela 20 fois on fait Kumbhaka (Sans souffle). Ainsi on sait le but du Hatha-Yoga.
Intéressants sont les mots phisiologiques des Indiens anciens pour les Vayus et les Nadis. Il y a 10 Vayus.
Ils appartiennent au corps intérieur : Prana (se trouve dans le coeur), Apana (dans la région de l'anus), Samâna (dans la région de l'ombril), Udâna (dans la gorge), Vyâna (dans tout le corps).
Ils appartienntent au corps extérieur : Nâpa (fait la fécondation), Kurma (ouvre les paupières), Krikara (laisse éternuer), Devadatta (fait bâiller), Dananjaya (pénètre tous le corps extérieur).

Les plus importantes des 14 Nadis : Shushumna, Ida, Pingala, Gandhari, Hasti-jihvica, Kuhu, Pusa, Sankhini, Payaswini, Varuni, Alumbusa, Viskwodan et Yasaswini. Ida, Pingala et Shushuina sont les plus importantes. Elles correspondent avec notre nerf Sympaticus. Le Yogi met sa conscience à un endroit différent. Il concentre sa pensée sur un Vayu et sur une Nadi. Il lie cette imagination en une certaine Asana avec le souffle. Cette combination on a nommé un Mudra. Ainsi il y a 25 Mudra (quelques sont très curieux)!

Le traitement de cet objet intéressant pourrait remplir beaucoup des livres. Et ici je ne peux pas raconter les raisons du commencement. Et je commence avec la dernière des 5 marches du Yoga extérieur : la 5. Pratyahara. C'est la domination arbitraire des perceptions des sens. Et aussi une oppression des perceptions vraies. La provoquation arbitraire de présentations arbitraires. On peut comparer ce stade avec l'état d'un hypnotisé . On lui suggère : Une pomme de terre serait une poire douce. - Et il sente le goût et l'odeur de la poire. Si on suggère le froid, il va sentir la froideur etc. Le Pratyahara est une congruence du Pranayama et des marches passées. Et tous ces 5 font ensemble le commencement au 6. Dharana : c'est la fixation du Chitta à un point. C'est la marche première des 3 processus intérieurs du Yoga. Naturellement vient le 7. Dhyana (contemplation) c'est le courant de la perception sur un point certain, sur celui elle est dirigée. Ainsi finit la conscience d'être autrement de cet point : «Le voyeur et ce qu'on a vu deviennent un seul». C'est l'état 8. Samadhi. Les trois marches intérieuses Dharana, Dhyana et Samadhi deviennent tous ensenble «Samyama». Par le exercices du Samyama viennent alors les «Siddhis » ou des capacités qui surpassent les moyens de l'homme ordinaire. Il y a plusieures : Anima, Laghima etc. Les plusieurs ont pour nous rien du surnaturel. On sait le Siddha (c'est celui qui les a attrappés) peut se mettre par hypnose dans les états connus.

Ces Siddhis est-que qu' ils correspondent avec les prescriptions du Yoga ? Nous ne le savons pas. Le Yogi vrai ne connaît auqu'une signification pour les Siddhis. Il les voit comme dérangeants. Ils le portent en dehors de son concentration nécessaire pour ses exercices. Le but du Yogi vrai est Kaivalya (Mohska) «la délivration» par l'association de Jivatma avec Paramatma. Mais c'est déjà le compte philosophique. J'ai touché seulement ce thème à cause d'une question a priori à répondre : «Pourquoi on attend presque rien chez les indiens des Siddhas ?»

Les «Fakire» en Royal-Aquarium et en Oes-Budawara de l'exposition du Millenium sont seulement la marche Nirvikalpa-Samadhi.

Le Yoga plus haut est à comparer avec le sommeil du sonnambulisme artificiel. Le souffle et le battement du coeur sont tellement diminués, comme ils le sont chez les cas du mort en apparence. Quelques Fakirs indiennes peuvent se mettre dans cet état. Et ils peuvent y rester un temps très longue. Je ne peux pas voire de l'incrédulité. Des cas de mort en apparence sont une sorte de léthargie. C'est rien de nouveau. Je crois qu'un homme par exercice et entrainement aurait la possibilité de produire ces états du sonnambulisme artificiel. Et il peut les agrandir et il peut produire la mort en apparence.

Mais ce serait énormément en bas. Pour cela on comprend que le but des présentations publiques n'est pas de montrer ces états profonds.



Traduit par Johannes Maikowski, Juin 2011.
signature de Johannes Maikowski

Deutsches Original: Eine Skizze ueber den psycho-physiologischen Teil der alten indischen Yogalehre – 1896.


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